L'eau de pluie, considérée comme la meilleure à plus d'un titre.
Tout d'abord par son coup économique, encore nul compteur à l'horizon pour vous faire payer cette manne venue du ciel.
Son acidité ensuite, analysée entre 5 et 7 de pH, c'est tout bon pour l'assimilation de vos traitements (préparation et dilution) par les plantes.
Plus largement, c'est faire œuvre de civisme en réduisant les eaux de ruissellement qui viennent gonfler le réseau des eaux usées et leurs traitements mais également économiser de l'eau potable.
Attention toutefois, cette eau n'est pas exempte de pollution de part les matériaux ou organismes avec lesquels elle s'est trouvée en contact.
Sa qualité dépendra de la nature des surfaces de ruissellement (toits) et de la qualité atmosphérique de votre région.
Evitez de récupérer, par exemple, une eau d'un toit goudronné, en ciment ou en zinc car elle sera enrichie en hydrocarbures et métaux contribuant à la pollution des sols et donc de votre jardin potager.
L'eau de ruisseau, n'est pas plus mauvaise que l'eau de pluie avec le risque toutefois d'être polluée plus sévèrement par des décharges sauvages, des pollutions chimiques dues aux produits phytosanitaires ou biologiques suite aux épandages agricoles de matières fécales, en amont de son lieu de puisage.
Si vous utilisez ce type d'eau, sans avoir effectué d'analyse préalable et que la cueillette de vos légumes s'effectue dans les jours qui suivent leurs traitements, veillez à les laver avec une eau dite "potable" (du robinet) avant leur consommation.
Sachez également que s'il vous est autorisé de puiser cette eau à proximité de chez vous, faites attention toutefois aux décrets départementaux ou municipaux pouvant réglementer voir interdire son puisage pour des raisons de pénurie notamment.
Pour tout autre cours ou étendue d'eau (lac, canal, fleuve, rivière…) celle-ci appartient à l'état, donc n'y venez pas avec votre petit seau et à fortiori votre citerne, il vous faudra une autorisation préalable.
L'eau de mare, si en bon jardinier bio vous avez songé à installer une mare dans votre jardin, c'est tout bon mais n'oubliez pas qu'il y a de la vie grâce à celle-ci et concurrencer les auxiliaires n'est pas fatalement un bon calcul… Donc ne puisez que si le volume d'eau restant permet à ceux-ci de faire face à une période de sècheresse.
L'eau de puits, voir ruisseau quant à la qualité.
Attention toutefois, cette eau n'est pas exempte de pollution de part les matériaux ou organismes avec lesquels elle s'est trouvée en contact.
Sa qualité dépendra de la nature des surfaces de ruissellement (toits) et de la qualité atmosphérique de votre région.
Evitez de récupérer, par exemple, une eau d'un toit goudronné, en ciment ou en zinc car elle sera enrichie en hydrocarbures et métaux contribuant à la pollution des sols et donc de votre jardin potager.
L'eau de ruisseau, n'est pas plus mauvaise que l'eau de pluie avec le risque toutefois d'être polluée plus sévèrement par des décharges sauvages, des pollutions chimiques dues aux produits phytosanitaires ou biologiques suite aux épandages agricoles de matières fécales, en amont de son lieu de puisage.
Si vous utilisez ce type d'eau, sans avoir effectué d'analyse préalable et que la cueillette de vos légumes s'effectue dans les jours qui suivent leurs traitements, veillez à les laver avec une eau dite "potable" (du robinet) avant leur consommation.
Sachez également que s'il vous est autorisé de puiser cette eau à proximité de chez vous, faites attention toutefois aux décrets départementaux ou municipaux pouvant réglementer voir interdire son puisage pour des raisons de pénurie notamment.
Pour tout autre cours ou étendue d'eau (lac, canal, fleuve, rivière…) celle-ci appartient à l'état, donc n'y venez pas avec votre petit seau et à fortiori votre citerne, il vous faudra une autorisation préalable.
L'eau de mare, si en bon jardinier bio vous avez songé à installer une mare dans votre jardin, c'est tout bon mais n'oubliez pas qu'il y a de la vie grâce à celle-ci et concurrencer les auxiliaires n'est pas fatalement un bon calcul… Donc ne puisez que si le volume d'eau restant permet à ceux-ci de faire face à une période de sècheresse.
L'eau de puits, voir ruisseau quant à la qualité.
L'eau du robinet, augmente le coût de vos traitements, n'est pas aussi bénéfique et/ou assimilable en l'état.
Bien souvent calcaire (pH>7) il vous faudra y verser un peu de vinaigre d'alcool (10cl/L) si vous ne voulez pas voir les stomates de vos plants se boucher et ne pouvoir assimiler vos préparations.
Il vous faudra également penser à laisser s'évaporer le chlore pendant quelques jours avant d'en faire usage car celui-ci inhile certains principes actifs. Prenez pour cela un récipient à grande ouverture.
Conseils:
Utilisez l'eau à une température contenue entre 15 et 25°.
Dynamisez là (action d'aérer l'eau, bref touillez là!).
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